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Catégorie : Humeur

A la Capelette…

A la Capelette…

Retour de Marseille où nous passions quelques jours, au sixième et dernier étage d’un immeuble neuf au début du boulevard de la Capelette, qui donne son nom au quartier. Une petite terrasse ouvre sur le ciel, les gabians passent à la recherche d’un truc à manger en planant joliment. Même qu’on a vu une troupe d’une trentaine de petits perroquets verts faire trois fois le tour du bâtiment, sans doute échappés d’une volière. Au loin le massif de l’Etoile, et…

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Bientôt trois ans…

Bientôt trois ans…

que Léonard Cohen s’en est allé, peut-être sur un chemin comme celui-ci. Oh jeunesse idyllique aux tatouages dans le dos comme il sied désormais à qui veut être dans le vent… et la marque des lunettes absentes sur la tempe du moine habilleur qui ramène à l’ordinaire. Mais peu importe si les traductions que j’ai pu lire de cette chanson sont très certainement à cent lieux de ce que nous dit le poète, je suis aussi au bout du compte…

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C’est pas qu’il ne se passe rien…

C’est pas qu’il ne se passe rien…

mais ma procrastination est telle en ces temps, que je ne m’accroche à rien, dilapidant mon temps entre de petites marches alentour et du vélo d’appartement très régulièrement, même quotidiennement, quelques matchs de rugby, mais c’est déjà presque fini, et des lectures de piochage de-ci de-là qui ne me font terminer aucun livre. Donc, pour ceux qui voudraient des nouvelles, à ceux que je ne rappelle pas ou n’écris pas qui s’enquièrent pourtant de ma petite personne, je dis :…

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Il avait disparu…

Il avait disparu…

mais il a été réparé. Je n’y viens vraiment pas souvent ces temps-ci, mais de le savoir inopérant m’a désespéré. C’est comme s’il avait disparu sans crier gare et je n’avais plus la main pour y mettre quelque chose. Mais sa créatrice opérationnelle ayant été dans les parages, sa technicité et son opiniâtreté ont eu raison du dysfonctionnement. Merci ma fille!!

Mon sentiment….

Mon sentiment….

J’étais au dépouillement du vote pour les élections européennes dimanche en fin d’après-midi, au village. Deux bonnes douzaines de volontaires pour cette tache qui semblait devoir durer avec toutes ces listes. Et puis non, une grosse heure suffisait au décompte des deux bureaux de vote. Ma tâche était d’empiler les bulletins, après l’annonce du candidat tête de liste, sur une grande table, prévue bien grande initialement devant les 34 listes engagées En fait, 18 listes virent des bulletins sortir des…

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Atelier d’écriture dans la piscine

Atelier d’écriture dans la piscine

Voici le commentaire que je mettais sur ma page fecebook (où vous pouvez me rejoindre si vous n’avez pas d’aversion pour le truc) . C’était le samedi 23 mars 2019. Et donc, voici les textes, que je vous conseille de lire après avoir fait un tour sur le site d’Arnaud Chochon pour visiter les piscines, et aussi voir sa série ‘Transmission », particulièrement touchante, voire dérangeante. Photo de couverture, Piscine Molitor, à Paname.

C’est l’printemps.

C’est l’printemps.

Levé à l’aube, j’ai l’impression que ça y est, c’est le printemps. Un truc bizarre en voyant le jour se lever, comme s’il était enfin de bonne humeur, comme moi pour m’être sorti du lit si tôt. A l’horizon un fin trait rouge qui hésite à passer au jaune, il fait frais mais on sent que la journée sera douce, la lumière arrive rapidement avec une sorte de gourmandise à manger le ciel. Y’a pas à dire, c’est le printemps,…

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Bonne année

Bonne année

Une soixantaine de cartes postales sont parties, un peu moins que les années passées mais des amitiés s’effilochent, s’appauvrissent ou, bien plus radicalement, disparaissent. J’y disais, en substance, que je souhaitais la lumière, qu’elle vienne d’une grosse ampoule ou d’une petite fenêtre pour vous éclairer avec vigueur et brillance, éclat et clarté comme un ciel étoilé d’une myriade de scintillements, apaisé des tumultes du monde. Et puis bonne année, bonne santé, et patati et patata. Et pour vous ici, chers…

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Attendre la nuit

Attendre la nuit

J’ai sorti là une chaise longue pour être bien installé. Le soir tombait doucement et quelques gouttes de fine pluie semblaient vouloir m’empêcher d’écrire dehors, mais si peu que le papier les absorbait et n’étaient donc sans effet dévastateur. Et puis, au loin, non pas la nuit mais un nuage puissamment noir, entier comme on dirait d’un cheval, abattait sa pluie tout en noirceur. Pas un bruit, pas un éclair à l’instant. Il ne faudra pas longtemps pour que ça…

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