Bientôt trois ans…
que Léonard Cohen s’en est allé, peut-être sur un chemin comme celui-ci. Oh jeunesse idyllique aux tatouages dans le dos comme il sied désormais à qui veut être dans le vent… et la marque des lunettes absentes sur la tempe du moine habilleur qui ramène à l’ordinaire.
Mais peu importe si les traductions que j’ai pu lire de cette chanson sont très certainement à cent lieux de ce que nous dit le poète, je suis aussi au bout du compte en lévitation.