Zola…
Très gentiment on m’a offert, entre autre, un exemplaire de « La terre », de Zola. Ça fait bien longtemps que je n’avais plus lu Zola. J’y remédiais donc… jusqu’à la moitié. Harassé par tant de pauvreté, de bêtise, de mauvaise ivresse, de cupidité. C’était assez de 250 pages lors desquelles c’est à peine si un rayon de soleil est aimable, si l’odeur des foins puisse être agréable. Et déjà c’était la crise agricole !!