Dix-huitième Juin

Dix-huitième Juin

Hôtel Boulderado

Si vous avez la curiosité de cliquer sur le lien ci-dessus, vous tomberez sur le blog de Lucien Nouis. J’aime bien ses textes, toujours bien tournés, certainement ciselés avec concentration et minutie, c’est du moins l’idée que je me fais. Et puis je vous mets le commentaire que je lui faisais après ma lecture, tant en effet ça m’a fait penser à l’autre auteur que j’évoque.


Je vous lis toujours avec plaisir, mais cette fois m’apparaît évident une écriture ressemblant à celle d’Aurélien Bellanger ( https://www.franceculture.fr/personne/aurelien-bellanger ). Je n’ai lu que son premier roman, mais je l’entends presque chaque fois donner sa « conclusion définitive » sur France Culture. Et il me semble trouver une longueur de phrase et des parenthèses qui vous semblent communes. Si vous détestez le gars, ce ne sera pas une comparaison flatteuse, mais si d’aventure vous estimez le bonhomme alors ce le sera.


Bien que n’ayant aucune contrainte, et que je fasse ce que je veux quand je veux, sans objectif majeur pour la journée, ni mineur d’ailleurs, j’ai pourtant, comme aujourd’hui, de temps en temps, une tendance coupable qui me mène à ne rien faire. Mais rien. Je me suis dit que c’était tout de même, ce rien, un bon début pour un morceau d’article dans mon blog, tiens. Voyez comme j’aurai très bien pu garder cette idée à la noix pour demain, puisque j’ai déjà mis un truc ce matin. Mais, ce matin, j’ai fais des choses. Pas tout ce qui était prévu, mais tout de même pas mal de choses.

Aucun rapport avec Lucien Nouis.

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