Trois d’un coup…

Trois d’un coup…

Voici les trois derniers épisodes des ateliers d’été de François Bon. Proposition 6 : Noms propres Presqu’en face, mais déjà depuis bien avant ce moment du déménagement, dans un passé devenu tellement lointain que pour bon nombre de ces commerces déjà ils étaient devenus maisons d’habitation, était un salon de coiffure. On ne sait plus quel était le nom de l’artisan, mais son prédécesseur s’appelait Monsieur Rossignol, nom bucolique s’il en est pur un salon dans la rue des Bleuets. Contemporaine…

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Attendre la nuit

Attendre la nuit

J’ai sorti là une chaise longue pour être bien installé. Le soir tombait doucement et quelques gouttes de fine pluie semblaient vouloir m’empêcher d’écrire dehors, mais si peu que le papier les absorbait et n’étaient donc sans effet dévastateur. Et puis, au loin, non pas la nuit mais un nuage puissamment noir, entier comme on dirait d’un cheval, abattait sa pluie tout en noirceur. Pas un bruit, pas un éclair à l’instant. Il ne faudra pas longtemps pour que ça…

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Trentième Juin

Trentième Juin

Ben voilà, j’ai tenu la distance et j’en suis bien étonné. Je vais pouvoir reprendre les ateliers car depuis quelques jours, je n’ai même plus regardé les consignes.  Mais ce n’est pas très grave, je vais m’y remettre dés demain. Et puis j’aurai un peu plus de temps (comme si j’en manquais!) car je vais lundi matin dans la petite maison aux volets rouges, pour quelques petits travaux. J’aurai moins chaud, j’espère, et je serai seul, donc plus disponible à…

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Vingt-neuvième Juin

Vingt-neuvième Juin

Deux choses pour ce soir, puisqu’en fin de compte, c’est bien souvent en toute fin de journée que je me précipite vers mon clavier pour l’article du jour. Le mot article étant proposé par WordPress qui « Fièrement propulse » les dits articles, car je ne me serais pas permis moi-même d’utiliser ce mot du monde le la Presse écrite. Monde que j’ai bien connu, mais très en coulisses, un peu comme un ramasseur de balles à Roland-Garros, mais tout autant que…

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Vingt-septième Juin

Vingt-septième Juin

De la blancheur de la seconde fleur du magnolia. De la chaleur qui nous tombe dessus depuis plusieurs jours. Des premières cigales qui se font entendre par intermittence. Du « retard » sur les ateliers d’écriture. Du fait que le président soit chanoine honoraire de Saint-Jean-de-Latran. De la coupe du monde et de la faiblesse des petits bleus, de l’élimination des Allemands. Des tomates qui ne rougissent pas encore, mais des salades déjà dégustées. De mes achats à la librairie de Pernes-les-Fontaines….

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Vingt-sixième Juin

Vingt-sixième Juin

Je ne suis pas spécialiste… j’allais dire en musique, mais en fait, mettant ces mots, j’affirme ici aux yeux du monde que je ne suis un spécialiste en rien. Ni en musique ni en littérature, ni en astrophysique ni en mathématique, ni en jardinage ni en pêche à la ligne, en étang ou en rivière, à la cuillère ou à la mouche. Mais je peux donner mon avis sur tout, alors même qu’on ne me demande rien !! Tout le…

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Vingt-cinquième Juin

Vingt-cinquième Juin

Je ne l’avais pas remarquée, la fleur blanche du petit magnolia, tranquillement posée au sommet de sa branche. Pourtant elle en impose et ce blanc puissant et soutenu ne laisse pas indifférent. D’ailleurs, bestioles et abeilles se précipitent, et je me dis qu’une petite photo sera une illustration pour ce vingt-cinquième article. D’autant que le précédent était plutôt famélique. Un mot, trois points, c’était tout. Je sors mon téléphone de ma poche, et fais une photo, un peu à l’aveugle…

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Vingt-troisième Juin

Vingt-troisième Juin

Ce joli petit texte de Françoise Morvan, mis sur sa page par André Markowicz, dont je ne peux que vous recommander la lecture. C’est sur facebook. Je sais, tout plein de gens ne sont pas sur facebook, parce que c’est pas bien, car plein de gens disent des horreurs, des cochonneries, des absurdités, et puis c’est perdre son temps…oui oui oui, je sais tout ça. Mais, pour moi, ma procrastination perpétuelle et mon gout pour les découvertes serendipitesques, c’est une…

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